UN NOUVEAU RECORD CANADIEN ÉTABLI LORS DE LA JOURNÉE D’OUVERTURE DE LA COUPE DU MONDE PISTE DE MILTON
Milton, ON (le 26 octobre 2018) – Le Canada a connu un bon départ à la deuxième ronde de la Coupe du Monde Piste UCI Tissot au Centre national de cyclisme Mattamy à Milton, en Ontario. Les équipes féminine et masculine se sont toutes deux qualifiées pour la ronde suivante de la poursuite par équipes. Les femmes ont terminé cinquième et les hommes quatrième, tout en établissant un nouveau record canadien lors de leur course.
Ariane Bonhomme, Annie Foreman-Mackey, Kinley Gibson et Stephanie Roorda ont établi un chrono de quatre minutes et 23,337 secondes pour le 4 000 mètres, à 4,375 secondes de la Grande-Bretagne, qui a fait le meilleur temps et qui détient présentement le record du monde. L’équipe canadienne de développement Pedal 2 the Medal a terminé 12e.
«Dans l’ensemble, nous sommes assez satisfaites de notre course», a déclaré Gibson. «Nous avons très bien exécuté techniquement. Historiquement, la première course a été dure pour nous, mais tout le monde a bien fait son travail aujourd’hui. Notre temps était semblable à ce que nous visions, considérant le fait que nous essayons de nouvelles choses cette année. C’est définitivement un processus et nous sommes satisfaites de notre performance.»
Chez les hommes, l’équipe canadienne composée de Michael Foley, Derek Gee, Adam Jamieson et Jay Lamoureux a établi le temps rapide de trois minutes et 56,931 secondes, soit 1,5 seconde de plus que le record précédent, établi par les mêmes quatre coureurs l’an dernier à cette coupe du monde. L’équipe Huub Wattbike de la Grande-Bretagne a eu le meilleur temps, avec 0,303 seconde d’avance sur le Canada. L’équipe Pedal 2 the Medal a pour sa part terminé 13e.
«C’était vraiment excitant!» a souligné Foley. «Nous avions une idée du temps que nous voulions faire, et c’était parmi les meilleurs scénarios. Tout le monde roule bien en ce moment, alors j’espère que les gars vont bien performer lors du prochain tour. Je pense que nous savions que nous l’avions en nous, et nous étions assez confiants, mais le penser et le faire sont deux choses très différentes. Même si ce ne sont que quelques secondes, c’est un grand pas pour nous.»